Assiette gourmande
Salade de chou rouge : râper le chou rouge en fines lamelles.
L’assaisonner avec du vinaigre de framboise et de l’huile d’olive.
Déposer une bonne cuillère de salade dans chaque alvéole et décorer avec des germes d’alfalfa.
Cube d’omelette, endive rouge : préparer une omelette en mélangeant au fouet, dans un grand bol, les oeufs, la crème fraîche, le gruyère râpé, le raifort, le sel, le poivre.
Verser cette préparation dans un petit plat carré, préalablement huilé, allant au four (l’omelette doit, en final, avoir au moins 2 cm d’épaisseur) ; mettre au four, préchauffé à 180 °C, pendant 15 mn, laisser refroidir, couper des cubes de la valeur d’une bouchée, les poser dans une alvéole, poser dessus une feuille d’endive et la napper de vinaigrette préparée avec l’huile d’olive, le vinaigre, du sel et du poivre.
Dégustation de pâtes : cuire les pâtes al dente dans une casserole d’eau salée, les égoutter, les assaisonner d’huile d’olive, d’un filet de citron, poivrer et déposer dans une alvéole.
Fromage en sucré-salé : couper l’ossau iraty en cubes de la valeur d’une bouchée ; les rouler dans des graines de pavot.
Dans une alvéole, mettre une cuillère de confiture de cerises noires et poser un cube de fromage.
L'accord parfait
En savoir plus sur ce cépageViognier de France
Avec équilibre et plénitude, le Viognier exprime la perfection sur terre. En blanc, c’est le cépage le plus opulent et le plus en vogue. Il épouse le style de notre époque, grâce un équilibre parfait et inespéré de suavité, de vivacité et de grande intensité aromatique. L’accord parfait : le sushi au tartare de thon. Poisson préparé comme une viande, le thon en sushi est l’exemple type des mets difficiles que le Viognier dompte facilement. Son onctuosité enrobe le poisson cru, et sa force aromatique équilibre celle de la marinade au soja ou au sésame. Un accord simple, mais sophistiqué et très tendance. Le complice des saveurs puissantes et contraires. La preuve : sur l’aspic de crabe, betterave rouge et pamplemousse rose, le Viognier tient tête à la douce amertume du pamplemousse grâce à sa fraîcheur, et la combine délicieusement avec la sucrosité végétale de la betterave ; le crabe joue évidemment le rôle d’intermédiaire complice.